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GASHA accuse EDDY KENZO de profiter seul des redevances après avoir payé 2000 $ pour leur collaboration Chill


Dans une révélation choquante, l'artiste camerounaise GASHA a dénoncé EDDY KENZO pour avoir accepté 2000 $ de frais de collaboration avec elle et avoir gardé les redevances pour lui-même. Il s'avère que l'une des plus grandes chansons d'Eddy Kenzo était en réalité une création de GASHA.

Cependant, lorsque la chanson a été distribuée, Eddy Kenzo et son équipe ont choisi de lancer la chanson via leurs propres canaux, ce qui a conduit à ce que les redevances soient uniquement perçues par eux. 

Malheureusement, GASHA n'a pas reçu un centime de cette collaboration informe Ndicho The-Publicist.

La chanson en question s'intitule "Chill" et compte actuellement plus de 5,1 millions de vues sur YouTube. Ce comportement a été qualifié de trompeur, louche et frauduleux.

Les médias et les blogs camerounais appellent Eddy Kenzo à faire preuve de respect envers lui-même et à accorder une part équitable des redevances à GASHA.

Ce n'est pas la première fois qu'une telle situation se produit. Blaise B a récemment révélé avoir été confronté à une situation similaire avec Star Fish Entertainment, où il a dû demander ses propres redevances pour la chanson "Bygone" en collaboration avec Asaba. 
Il est important de souligner que les redevances sont l'une des principales sources de revenus pour les artistes, et il est crucial qu'ils soient traités équitablement.

Les attentes sont désormais élevées envers Eddy Kenzo et son équipe pour qu'ils rectifient cette situation et offrent à GASHA sa part légitime des redevances. Les fans et les observateurs de l'industrie musicale suivent de près cette affaire, en espérant une résolution juste et équitable.

Il est essentiel que les artistes respectent mutuellement leurs engagements financiers et veillent à ce que les collaborations soient équitables et transparentes.
Nous appelons Eddy Kenzo et son équipe à prendre conscience de l'importance du respect mutuel et à rectifier cette situation pour préserver l'intégrité de l'industrie musicale.